vendredi 10 juillet 2009

LIVRE D'OR (SUITE)




DEUX RESPONSABLES D'ASSOCIATIONS TEMOIGNENT SUR "LA VERITE VOUS RENDRA LIBRES"


Sandrine PORCHER
Présidente des LADIES WORLDWIDE, responsable du pôle PROTECTION de l’ENFANCE : "MON TEMOIGNAGE !"

"Cette pièce peut paraître une fiction pour celles et ceux qui ont eu la chance de ne jamais être confrontés à l’INJUSTICE de la JUSTICE… Mais aucune exagération malheureusement !

Dans ces cas, eu égard à notre expérience, nous savons que la réalité dépasse la fiction, et que très vite nous atteignons la terreur et l’horreur. Des vies sont brisées à cause de pervers narcissiques très manipulateurs qui savent rallier tout le monde à leur cause, au détriment d’innocents…

Nous répertorions en ce moment les cas dits de « dysfonctionnements » de la Police et la Justice complètement lobotomisées par ces individus, et nous sommes effarés devant l’ampleur du phénomène. Des enfants confiés à des parents violents ou pédophiles qui même, parfois, ont avoué leurs actes…
Des enfants qui sont placés en foyer pour atteindre des quotas financiers…
Complicités ou incompétences ???
Réseaux qui camouflent les vérités pour sauver leurs brebis galeuses ???

Plus on avance, plus on voit clair dans ce no man’s land et plus on a de preuves, mais plus on se retrouve face à des murs, plus on se sent impuissants… et plus on reçoit aussi des menaces, comme par hasard ! L’arme la plus redoutable des lâches est la diffamation…

Voyons, il y a eu un classement sans suite et un non lieu, alors X est nécessairement innocent !!!
Même avec 20 certificats médicaux démontrant le contraire… ben voyons !

Soria Soria, avec beaucoup de courage a résumé toutes ces phases, ou la déshumanisation de la JUSTICE notamment est devenue monnaie courante, à notre grand dam…

Le justiciable mérite bien mieux que cela.

Et est-ce vraiment un problème de moyens, comme ce prétexte est agité dans des sphères de la magistrature ou certain(e)s ont-ils vraiment complètement perdu le sens des réalités, en violant impunément l'article 223-6 du code pénal sur la non-assistance à personne en danger ?

Homayra SELLIER pour INNOCENCE EN DANGER, Présidente : "Ne pas être les complices silencieux des crimes commis contre les enfants."

"Lorsque je suis allée voir la pièce à la générale pour la presse, j'en suis sortie avec la crainte de ce que ces vérités certes si exactes sur la manière dont se passent les choses devant les tribunaux, en tout cas pour 90% de ce qui peut être raconté, ne soient prises pour des anecdotes, tant elles sont incroyables pour celle ou celui qui a la chance de ne jamais y avoir été confronté.


Une vérité qui dérange et qui fait peur, ce qui ne sert qu'à ceux qui abusent les enfants.


Mais j'en ai parlé à des parents qui se trouvent dans l'engrenage de cette "Justice" là, et qui tous ont confirmé s'être retrouvés dans le personnage de cette mère qui se bat et qui finit par perdre tous ses droits, aussi invraisemblable que cela puisse paraître.


Hélas, des cas comme celui raconté grâce au courage de Soria Soria, nous en côtoyons plusieurs par jour.


Nous avons décidé d'agir et de réagir pour ne pas être des complices silencieux des crimes commis contre les enfants."

mardi 23 juin 2009

LE LIVRE D'OR DU SPECTACLE


Ils ont vu...

Ils ont aimé...

"La vérité vous rendra libres"





ILS L'ONT ECRIT POUR NOTRE LIVRE D’OR



« Un sujet grave, traité avec beaucoup de délicatesse, servi par des acteurs engagés et vrais et par une mise en scène qui tire le meilleur parti de tous les arts de la scène.
Un théâtre qui réveille les consciences.
Remarquable et bouleversant. »
Chantal Bally, Radio-Notre Dame.

« La cantatrice Elizabeth Laurence est une présence qui se communique au spectateur. »
Chantal Bally, Radio-Notre Dame.

"C'est un spectacle qui prend aux tripes. Le sujet est lourd, et pourtant on ne tombe jamais dans le mélodrame larmoyant. Les acteurs sont excellents et la mise en scène très efficace." (Béatrice).

« Je voulais dire à quel point cette pièce m’a bouleversé parce qu’elle pose un problème d’une gravité que je n’imaginais pas ; la mise en scène est excellente; je me souviendrai du long monologue de la religieuse au début de la pièce, de la magnifique voix de la cantatrice, du procès si intense. Cette pièce mérite de vivre longtemps et de toucher un public toujours plus large. Bravo. » (Eric).

« La vérité vous rendra libres est une œuvre unique. Grace à la qualité de ses acteurs et de la mise en scène, vous plongez immédiatement dans cette tragédie humaine dont vous saisissez mieux ses ressorts et ses remèdes. Une pièce passionnante au service d'une importante cause ! » (Olivier).

« Je viens de voir la pièce et en sors enthousiaste !! J'ai été très touché, aux larmes, par le drame que vous dénoncez si bien. Je me suis passionne pour la pièce, épate par vos jeux d'acteurs et une excellente mise en scène. J'en parle autour de moi, vous méritez un vrai succès populaire !!! » (Bernard).

« Je viens vous féliciter vivement pour cette extraordinaire pièce que j'ai vue hier au soir en compagnie de deux amies et d'un prêtre étudiant. C'est très bien fait et très bien joué. Vraiment bravo ! Avec un tel sujet, on ressort bouleversé et tous les quatre nous avons beaucoup, beaucoup aimé. » (Mayie).

« Terriblement d'actualité.... et si politiquement incorrect.
Très bien joué. Bonne idée d'avoir "incarné" ainsi le démon... Sœur Brigitte est angélique.
Le rôle ingrat de l'avocat de la partie adverse était remarquablement joué.
Bravo à tous.... » (Elisa).

Pièce surprenante dans un décor sobre, mais les comédiens très motivés nous font vivre un agréable moment même si le sujet est délicat. (Dominique).

mercredi 17 juin 2009


PARTICIPEZ A NOS 4 EVENEMENTS
SOUTENEZ D’URGENCE NOTRE ACTION
EN FAVEUR D’UNE PRISE DE CONSCIENCE NATIONALE
POUR L’ENFANCE EN DANGER


Colloque PRÉVENTION DES VIOLENCES INTRAFAMILIALES, VERS LA GANDE CAUSE NATIONALE, LÉGISLATIONS COMPARÉES EN EUROPE.
Au Palais du Luxembourg (Sénat) le samedi 27 juin 2009 de 8h30 à 18h.
Inscriptions indispensables par mail à
ladies.worldwide@laposte.net , tarif 35 €.
Un colloque avec les meilleurs spécialistes, psys, sociologues, juristes, magistrats, etc., sous le patronage de M. Terry Davis, Secrétaire Général du Conseil de l’Europe, et parrainé par Mesdames Alliot-Marie et Bachelot (ministres) ainsi que par Maryse Wolinski (écrivain et journaliste).
Vous recevrez par retour de mail les instructions pour envoyer votre chèque d’inscription à l’avance, car le règlement du Sénat interdit de payer sur place. Soyez vite inscrit sur la liste et apportez vos papiers d’identité pour rentrer au Sénat.

Exposition L’ART DE LA RESILIENCE
Au Palais du Luxembourg (Sénat) le jeudi 25 juin 2009 à 18h.
Vernissage cocktail gratuit.
Une exposition de photos, peintures et sculptures, pour sensibiliser les parlementaires à la cause de la protection de l’enfance. En présence de sénateurs et de députés.
Entrée libre sur inscriptions indispensables par mail à ladies.worldwide@laposte.net
15 rue de Vaugirard 75006 Paris.
Soyez vite inscrit sur la liste et apportez vos papiers d’identité pour rentrer au Sénat.

Pièce de théâtre LA VÉRITÉ VOUS RENDRA LIBRES
Réservations au Théâtre de Nesle 01 46 34 61 04
8 rue de Nesle 75006 Paris, métro Odéon.
La seule pièce qui dénonce les dysfonctionnements de la Justice dans les cas d’inceste et de pédocriminalité. Du chant, de la danse et 10 comédiens sur scène.
Un magnifique spectacle musical et incisif à ne pas manquer.
http://veritelibre.blogspot.com
Du mercredi au samedi à 18h45, encore 10 représentations jusqu’au 27 juin 2009.
Billet 25 €, TR étudiants et chômeurs 15 €, tarif groupes 20 €.
Sur le site Billet Reduc, prenez une place, venez à 2 !
N’attendez pas le dernier moment pour réserver vos places et venir voir la pièce !
Cette pièce de théâtre a besoin de votre soutien financier pour continuer à exister.


SOIREE VIP de prestige LA VERITE VOUS RENDRA LIBRES le 26 juin à 18h30.

Représentation de la pièce, suivie d'un cocktail.
La représentation du vendredi 26 juin 2009 est réservée en priorité aux décideurs institutionnels (parlementaires, cabinets ministériels, etc.) pour les sensibiliser à la cause des enfants victimes de dysfonctionnements judiciaires.

Soirée VIP à entrée gratuite pour les décideurs et entrée payante pour les personnes qui souhaitent devenir mécènes de SOPHIA THEATRE en soutenant financièrement la pièce. Les dons à partir de 100 Euros sont déductibles d'impôts à 66% ou 60% pour les particuliers, les entreprises et les professions libérales, selon la loi sur le mécénat culturel en faveur du spectacle vivant. Un reçu vous sera adressé pour tout don.

Nous conseillons au public venant spécialement de province pour le colloque. de réserver ses places pour la représentation du 27 juin au soir, après le colloque, ou pour celle du 26 juin si des personnes souhaitent soutenir financièrement SOPHIA THEATRE.

Pour venir voir la pièce, le public parisien doit réserver ses places de théâtre de toute urgence et par ses propres moyens avant le 26 juin en téléphonant au 01 46 34 61 04.

LA VERITE SUR LES ALLEGATIONS D'ABUS SEXUELS


La vérité sort plus facilement de la bouche des enfants que de celle de l’adulte

Un article de la psychologue suisse Claudia JANKECH sur les fausses allégations d’abus sexuels remet les pendules à l’heure, alors que le chiffre de 80 à 90% de fausses allégations est avancé sans aucune preuve par certains détracteurs de la parole des enfants. Le véritable chiffre des fausses allégations d’abus sexuels serait nettement inférieur : de 2% à 14% selon les cas.
Il ne s’agit pas d’une guerre de chiffres mais plutôt de l’avenir de milliers d’enfants que la Justice refuse de croire et qu’elle confie en garde exclusive au parent agresseur considéré comme accusé à tort, dans le cadre des séparations parentales. Cette injustice doit cesser.
Nos associations ont en charge des centaines de dossiers de ce type, présentés par des mamans désespérées qui ne parviennent pas à protéger ni à défendre leurs enfants contre les abus, car la Justice refuse de les croire. Une histoire racontée dans la pièce « La vérité vous rendra libres » qui montre notamment comment le fameux "Syndrome de l'aliénation parentale" est retourné et utilisé pour discréditer le droit des victimes. Ces dysfonctionnements judiciaires, présentés dans la pièce, ont été dénoncés par L'ONU qui a condamné la France dès 2002, mais depuis lors rien n'a été fait par l'Etat français pour que ça change.

La vérité sort plus facilement de la bouche des enfants que de celle de l’adulte, un article de Claudia Jankech
La Suisse a signé la Convention des droits de l’enfant faisant de ces derniers des personnes à respecter tout en tenant compte de leurs besoins spécifiques vu leur statut de sujets en croissance à qui les adultes doivent assistance et protection. Cette reconnaissance entraîne un nouveau contrat social, que certains adultes rechignent à accepter, soit parce qu’ils confondent l’autorité positive nécessaire à l’éducation de l’enfant avec le pouvoir de disposer de l’enfant, soit par méconnaissance de faits graves qui touchent l’enfance, soit simplement par peur de perdre leur statut supérieur. Parmi les signes de ce pouvoir les abus sexuels sont les plus abjects.
Les recherches actuelles en matière d’abus sexuel mettent en évidence les effets dévastateurs de ces mauvais traitements *: (American Psychiatrist Associaton, Document Reference No. 930003, Memories of Sexual Abuse) « L’abus sexuel sur des enfants et adolescents entraîne des conséquences négatives sévères. L’abus sexuel de l’enfant est un facteur de risque pour plusieurs désordres mentaux, incluant les troubles anxieux, les désordres affectifs, les troubles dissociatifs et les troubles de la personnalité »
La Tribune Médicale du 13 mars 2009, publie les résultats d’une étude canadienne menée par Patrick Mc Gowan ( Douglas Mental Health University Institute, à Montréal), qui travaille sur les mécanismes pouvant entraîner ces troubles psychiques graves : « Les abus sexuels et la maltraitance pendant la petite enfance peuvent modifier la réponse au stress à long terme en induisant des changements épigénétiques ». Cette étude « apporte les premiers éléments de preuve chez l’homme (…..), les traumatismes de l’enfance sont associés à une réponse au stress altérée et à un risque accru de troubles psychiques ».
Le professeur Danya Glaser (Congrés Cismai, 2006 Pescara), a fait état de recherches démontrant que le stress augmente le taux de cortisol, cette hormone attaque la myéline qui entoure les fibres nerveuses et expliquerait les nombreux déficits que les spécialistes retrouvent chez des enfants dont le processus de myélinisation est en cours et qui sont soumis au stress lié aux mauvais traitements subis.
Ces constatations scientifiques doivent nous inciter à mettre tout en œuvre pour apporter assistance à l’enfant abusé et maltraité ce qui implique aussi de dépister des éventuelles fausses allégations. Mais certains, épinglant les inévitables faux témoignages retentissants (affaire d’Outreau), venant même des enfants, voudraient jeter la suspicion sur la parole de l’enfant comme si ce dernier était plus sujet que l’adulte à mentir car influençable.
Comme si l’enfant était le seul être manipulable. Les médias, par exemple, ne manquent pas de citer les cas d’enfants ayant accusé à tort leur père ou tout autre personne, cachant par cette mise en exergue de faits isolés, le nombre important de cas d’enfants qui bravent leurs peurs pour dévoiler des abus qui les traumatisent.
Les interventions d’experts dans les médias, ne contribuent pas toujours à éclaircir la situation. Par exemple, le professeur Jaffé affirmant : « …Lors de séparations douloureuses, 90% des accusations de sévices sexuels sont abusives. Il s’agit d’un syndrome connu, celui de l’aliénation parentale. Il y a lavage du cerveau de l’enfant par le parent — parfois de bonne foi — qui veut se venger de son conjoint. Et cela biaise tout. » (Interview 24hs du 25.12.2005)
Il se trouve que les recherches sérieuses, menées sur des cohortes très importantes (135 573 enquêtes analysées par Trocmé et al.,2001, Canada) d’enfants donnent les chiffres suivants :
«… les pères qui n’ont pas la garde ont signalé 43 % de tous les cas de fausses allégations intentionnelles documentées dans l’ÉCI-1998, tandis que les mères ayant la garde des enfants sont responsables de 14 % des fausses allégations. Il est toutefois important de savoir que, même dans le contexte des séparations parentales, la plupart des allégations non fondées ont été signalées en toute bonne foi. Dans ces cas, de véritables malentendus ou un manque de communication sont à la base de l’allégation non fondée. Par ailleurs, même dans les cas de séparation parentale, 40 % des signalements sont corroborés et 14 % demeurent présumés ».
En ce qui concerne les enfants, ils ne sont responsables que de 2% de fausses allégations intentionnelles.
Ainsi le chiffre serait plutôt de 46% en cas de litige pour la garde et non 90%, et elles ne sont que rarement avancées par l’enfant mais plutôt par son entourage.
D’autres recherches, émanant encore du Canada (Allegations of sexual abuse when parents have separated, Nicholas Bala & John Schuman. Professor Nicholas Bala, Faculty of Law, Queen’s university, Kingston Ontario, mai 1999) mettent en évidence que *: « Plusieurs allégations d’abus sexuels faites par les enfants après la séparation parentale sont vraies. Dans certaines situations, l’abus commence quand la famille est encore unie, mais l’enfant se sent trop intimidé par la présence de l’abuseur pour dévoiler l’abus avant la séparation. Lorsqu’il y a eu abus sur le conjoint, le parent non maltraitant peut se sentir incapable de faire les démarches pour protéger l’enfant avant la séparation. Dans plusieurs cas, notamment dans les cas d’abus sexuel, l’abus ne commence pas avant la séparation et s’explique par les besoins émotionnels et la solitude du parent qui commence à abuser de l’enfant. Ainsi, certains parents abuseurs, qui sont sexuellement attirés par leurs enfants, sont des pédophiles (c'est-à-dire qu’ils ont une attirance sexuelle envers les enfants)- dans de nombreux cas l’abus est plus situationnel qu’à proprement parler pédophile. Dans quelque cas, l’abus peut être perpétré par le nouveau partenaire du parent et commence seulement une fois que ce dernier vient résider chez le parent ».
Conclusion de la recherche : « Chaque cas doit être étudié individuellement, avec ses particularités, et non basé sur des statistiques sur les cas en général. (….) Quoi qu’il en soit, les cas impliquant des allégations d’abus sexuel sont plus difficiles à résoudre par la médiation et la négociation et sont plus fréquents à finir en jugement.
Il ressort de la littérature que les allégations d’abus sexuel sont faits dans moins de 10% de cas de litige pour la garde, peut être il s’agit de moins de 1 ou 2% des cas. Parmi le groupe de familles en conflit pour la garde au tribunal impliquant des allégations d’abus sexuel, la part de cas non prouvés ou infondés est élevé, probablement entre 25 et 75%. Cependant, même lorsque les allégations sont considérées infondées, la part des allégations fausses intentionnellement est bas, se situant entre 3 et 30% ».
La plupart des allégations infondées sont le produit de mauvaises entente et communication. S’il y a allégation intentionnellement fausse, c’est souvent de la part du parent accusateur, mais dans de rares cas de l’enfant (en général âgé) qui fabrique délibérément une fausse allégation »
La notion de faux témoignage a été introduite en justice pour l’adulte, ce dernier reste la plus grande source de fausses allégations, notamment lors de litige pour la garde de l’enfant.
54% d’allégations d’abus qui seraient donc présumées ou corroborées, mettent clairement en évidence que si l’on ne peut pas toujours croire ce qui est avancé dans ce contexte, le phénomène d’abus reste important et qu’il est essentiel de ne pas jeter le discrédit sur le parole de l’enfant en tant que telle afin que les abus soient dénoncés le plus tôt possible et l’enfant soit ainsi protégé et les effets soient minimisés dans la mesure du possible.
En aucun cas les statistiques doivent remplacer l’analyse des cas particuliers et la recherche de preuves doit primer, comme dans toute situation présentée à la Justice.
A l’heure où l’imprescriptibilité des actes de pédocriminalité entre en force et que les personnes déconseillant de voter pour cette initiative insistent sur le fait qu’il faut détecter les abus sur les enfants le plus tôt possible car le temps effacerait les preuves et altèrerait les souvenirs, il est essentiel de ne pas jeter le discrédit sur la parole de l’enfant, en la présentant comme étant sujette à caution parce qu’aliénée, alors qu’il s’avère que la parole de l’enfant a plus de chances d’être vraie que celle de l’adulte.
Le proverbe populaire La vérité sort de la bouche des enfants, reste valable. Tout au plus pourrions nous dire La vérité sort plus facilement de la bouche des enfants que de celle des adultes.
Claudia Jankech
Spécialiste FSP en psychologue de l’enfant et l’adolescent
et en psychothérapie
Lausanne, mars 2009
Les paragraphes précédés par un * ont été traduits de l’anglais par C.Jankech

mardi 16 juin 2009

Soeur Brigitte demande un miracle pour sa famille

UN SPECTACLE DONT LA MISE EN SCENE S'INSPIRE DE TABLEAUX DE MAITRE

Dans le role du Démon de l'inceste

FELIX ARIEL CASTILLO CASTRO
DANSEUR AFRO CONTEMPORAIN